Liberté d’informer

novembre 22
Les journalistes exilé·es qui arrivent en Belgique peuvent bénéficier du soutien de l’association En-GAJE, une structure qui les aide à l’insertion et la reconnaissance de leur parcours professionnel.

Chaque année, des centaines de journalistes à travers le monde sont assassiné·es, emprisonné·es, harcelé·es simplement parce qu’ils et elles remplissent leur mission d’informer. Nombreux sont ceux qui ont du tout quitter du jour au lendemain pour fuir des menaces et s’exiler à l’étranger. Pour leur venir en aide, l’asbl « Ensemble – Groupe d’aide aux journalistes exilés », dont l’acronyme est En-GAJE, a vu le jour en 2018 en Belgique. L’association soutient les journalistes exilé·es aussi bien dans leurs démarches administratives que dans la poursuite de leur métier. En-GAJE œuvre ainsi à l’insertion et la reconnaissance professionnelle des reporters en exil. Ces journalistes sont aussi régulièrement invité·es à sensibiliser le public belge à la liberté de presse en témoignant de leur parcours.  

Les coulisses du tournage

Ce sujet a été coconstruit avec l’association En-GAJE qui nous a aidé à rencontrer des journalistes exilé·es en Belgique. Nous avons pu suivre principalement deux journalistes soutenu·es par l’association ; Sow Fatimetou, journaliste présentatrice Mauritanienne, et Ebrahim Mahfoud, journaliste et documentariste syrien, qui ont accepté de nous raconter leur parcours professionnel, des raisons de leur exils jusqu’à leur quotidien en Belgique.  

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